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Anka Felis
Anka Felis
Admin
Messages : 418
Date d'inscription : 07/03/2015
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bens goldstein Empty bens goldstein

03.11.18 11:36

Goldstein, Rubens
ft. armie hammer ≈ chocolatine@tumblr.
" j'aurais aimé t'aimer
comme on aime le soleil
te dire que le monde est beau
que c'est beau d'aimer "

(identification complète) rubens, prénom banalement hérité d'un homme bon, brave, dont la singularité se situe dans sa terminaison. une consonne, ajoutée, mine de rien, pour lui conféré une unicité qui le séparerait du souvenir de l'être cher, décédé. rubens, qui n'est aujourd'hui bien souvent plus que bens, diminutif peu recherché et qui pourtant soulève bien des sourires. bens, quand il aura des neveux ou des nièces, bens, l'uncle ben's - un comble pour lui qui n'aime pas le riz. goldstein, patronyme synonyme d'honneur, une fierté pour le garçon derrière l'homme. goldstein, cette fratrie peu banale, cette mantra des différences. le sang n'a que peu d'importances. (âge) les années qui flottent, les bougies qu'on souffle et ce nombre qui grandi sans qu'on y porte une importance particulière. bens est à l'aube de la trentaine, du haut de ses vingt-huit années presque révolues. et pourtant c'était hier qu'il passait son diplôme, avant hier qu'il apprenait à faire du vélo, et la semaine dernière qu'il disait son premier mot. (lieu et date de naissance) portland, ville de naissance de leur amour, naturellement devenue lieu marquant des étapes de leur histoire. bens, born and raised, ne jure que par portland et pourtant aujourd'hui sa cité est salie des millions de souvenirs qui embrument ses prunelles. c'est avec une mélancolie certaine qu'il fêtera cette année de plus, le vingt septembre, lui l'enfant du début d'année scolaire. (statut civil) bens, quelques mois en arrière, il se disait veuf. lui, le coeur toujours meurtri de sa disparition si soudaine, de son absence si pesante. bens, il pense encore à elle souvent, tout le temps. et elle a cette emprunte gravé dans son coeur, celle qui lui tord les tripes quand aujourd'hui il parvient à simplement se qualifier de célibataire. en résumé, bens est seul. il est seul et pourtant pas ouvert à l'amour, ses sentiments enfermés dans le tiroir de leurs souvenirs. ces souvenirs qu'il découvre biaisés par une infidélité qui lui a trop longtemps été cachée. (emploi ou études) bon garçon, bon écolier, puis bon étudiant. bens, il était simplement bon. assez bon, pour vouloir que sa vie ai un sens, pour vouloir changer les choses. c'est comme ça qu'il s'est retrouvé le diplôme de droit en poche, prêt à se battre contre le monde. jeune avocat, bens il est tombé de haut. parce qu'il ne les aide en rien, que la justice n'est bonne que pour les autres. alors, il a tout laissé tombé bens, quand il a pété les plombs. le décès de daisy, cette pseudo dépression. il ne voulait plus de tout ça. bens, il a enchaîné des boulots médiocres qu'on lui donnait avec le sourire parce qu'il était sur-gradé. des boulots qui lui ont fait prendre conscience qu'il lui fallait trouver quelque chose qui le passionne. apprenti ébéniste, bens se découvre une vocation. une voie qu'il est pourtant prêt à faire foirer maintenant que ses vieux démons refont surface. (orientation sexuelle) il ne s'est jamais posé de question concernant son orientation sexuelle, et pourtant bens est certain d'une chose c'est qu'il est hétérosexuel. très ouvert et partisan du phénomène lgbt - qu'il se dit après avoir suivi sense8, autrement dit il n'y connait rien, mais fait comme si - il n'en reste pas moins attiré uniquement par les courbes féminines. bens, il n'y a que les femmes qui ont ce pouvoir charnel, cette emprise sur sa masculinité. (statut financier) $$$$, les goldstein sont issus d'un milieu modestement confortable. et bens, il vivait tout à fait correctement, il gagnait plutôt bien sa vie en fonction des affaires qui lui étaient confiées. mais il est rapidement devenu à court, à trop longtemps vivre sur ses économies. bens, c'est pas quelqu'un de dépensier, mais dans ses nuits les plus noires il a vu ses billets verts s'enflammer sous un flot de vodka. (traits de caractères) à l'écoute, affectueux, attachant, attentionné, anxieux, bienveillant, brisé, consciencieux, controlfreak, inaccessible, intègre, juste, loyal, maniaque, moral, ouvert d'esprit, perfectionniste, prévenant, raisonnable rationnel, réconfortant, respectueux, susceptible, tendre. (doppelganger) armie hammer. (groupe choisi) remember me.

(001.) rubens a été élevé avec des valeurs qui lui tiennent encore à coeur aujourd'hui. celles qu'il est important d'aider son prochain et que rien n'est jamais acquis dans la vie. les goldstein sont partis de rien et malgré l'avenir primaire qu'on leur attribuait, ils sont parvenus à faire quelque chose de bien dans leur vie. et c'est cette mantra qui a toujours bercé chacune de ses actions. rubens, il se soucie énormément des autres, que se soit ses proches ou les inconnus. il est prêt à tendre la main aux personnes dans le besoin, sans demander quoi que ce soit en échange. (002.) bien que ses parents soient des dieux à ses yeux, bens n'a pas toujours été en accord avec leurs choix. notamment le fait de devenir famille d'accueil pour les enfants en difficulté. ce n'est pas qu'il ne partageait pas leur altruiste, bien au contraire, mais bens ne se sentait pas l'âme de supporter le départ de ces enfants auxquels il était certain qu'il allait s'attacher. et quels parents imposeraient ça à leurs enfants ... c'est auprès de mia, son unique soeur biologique, qu'il trouva le pilier nécessaire à sa survie dans un mode de vie comme le leur. une promesse de gosse qui les lie pourtant toujours aujourd'hui. celle qu'ils seront toujours là l'un pour l'autre, quoi qu'il arrive. (003.) rubens, c'était pas un gosse difficile. quelques problèmes d'attention, un brin bagarreur, mais pas le moins turbulent. c'était même un bon élève qui s'appliquait à ramener des notes convenables à la maison, faire la fierté de son paternel en particulier. mais bens, il a toujours eu du mal à se définir en tant qu'adulte, à se construire autour de quelque chose de glorieux. il n'aspirait nécessairement à de grandes choses, mais les espoirs reposant sur ses épaules l'ont poussé à se lancer dans des études de droit desquelles il sortira fièrement diplômé. (004.) controlfreak aurait très bien pu être son surnom à l'époque - et sans doute encore un peu aujourd'hui. rubens, il a toujours trouvé ça rassurant de savoir de quoi l'avenir sera fait, d'avoir une vie paisible, bien rangée. pas de drames à l'horizon, juste le long fleuve tranquille que lui semblait être sa vie. des études bien menées, un diplôme en poche, un boulot d'avocat stable, une petite amie en instance de devenir sa fiancée puis sa femme, toutes ces constances, ces certitudes qui équilibraient sa vie étaient devenues un besoin quasi vital pour que bens ne sente le stress et la peur ne prennent le dessus sur sa raison. (005.) suite au décès de celle qui considérait comme la femme de sa vie, bens s'est renfermé sur lui même, a sombré peu à peu. il n'était plus qu'une coquille vide, brisée. puis il a pété les plombs, il a envoyé en l'air tout ce qu'il avait construit de bien dans sa vie dont son travail. il s'est amusé à vivre d'un rien, sur des économies qui n'ont tenues que peu de temps. bens, il a décidé qu'il était temps pour lui de vivre, de découvrir. et aujourd'hui, alors qu'il semble se reconstruire, retrouver un semblant de stabilité dans sa vie, l'annonce de l'infidélité de daisy vient lui arracher le coeur une seconde fois et foutre en l'air tout ce qu'il avait à nouveau de bien dans sa vie. 

≈ aux travers des tempêtes
portland, 2000. trois têtes se tiennent devant la porte d'entrée. trois gamins qui se tiennent la main, liés par cette impatience de découvrir celui qui sera leur frère, ne serait que le temps d'un été. rubens trône au milieu, se voulant grand, robuste et souriant. sa main droite entoure celle de sa soeur, mia. son petit ange blond aux prunelles scintillantes, cette gamine du même sang pour qui il se sent l'âme d'un chevalier. dans ce regard qu'il lui lance, alors qu'elle resserre l'emprise de leurs phalanges, on peut lire cette promesse qu'il lui a faite. i will always be there, no matter what. cette promesse que lui ne disparaîtra jamais, contrairement à ces gosses de passage, mia elle pourra toujours compter sur la présence de ce frère aîné aussi attachant qu'énervant. sa main gauche est agitée par les mouvements impatients de son frère, alexei. ce gamin aux origines slaves et pour qui ils n'ont jamais fait de différences combien même les commérages s'usent à conter ces histoires dénigrantes d'abandon. alexei, au regard vif du haut de ses trois pommes et ce sourire ancré dans les souvenirs de bens. les souvenirs de cette journée d'été, lorsque ce petit être fragile a débarqué plus tôt que prévu dans leur vie, venant combler un peu plus la famille goldstein.
la porte s'ouvre sur le visage inquiet de ce gamin par plus vieux qu'eux. wyatt qu'on leur dit. wyatt, onze ans, comme rubens. orphelin de mère, histoire dramatique d'un gosse qui traîne dans les rues. bens, il se sépare de ses cadets pour rejoindre le nouveau venu. les lèvres plissés dans un sourire affectueux, il lui souhaite la bienvenue. et c'est le début de wyatt et rubens, jumeaux de coeur à défaut de sang.

portland, jun. 2012. ce sont ses iris claires ou ses lèvres charnues, sa longue crinière dorée ou ses courbes à faire jurer les saints, sans doute son air sauvage de lionne qu'on ne domine pas. mais cette femme, elle a pris possession de son corps, de son âme et de son coeur d'un simple regard. daisy, son désir. daisy, cette femme qu'il a aimé dès le premier jour. love at first sight qu'on s'amuse à lui faire remarquer. bens, il était raide, fou, complètement submergé par cet amour qui émanait de son être intérieur pour recouvrir l'aura gracieuse de daisy. et il ne cessera pas de remercier elsa d'avoir joué les entremetteuses, d'avoir eu la bonté de la mettre sur le chemin de sa pâle existence. elsa, qu'il remerciera d'une façon peu conventionnelle. bens et son humour emprunt d'un beaufitude exaspérante. lui qui ira mettre sur sa route des hommes qui ne sont faits pour elle que dans un monde parallèle, des hommes qu'elle pourra jeter à souhait avant de tomber sur cette perle rare qui ne lui semble plus utopique. ce grand amour qui à ses yeux, a pris la forme de daisy.
et la rencontre avec la femme de sa vie va de paire avec celle de l'aussi adorable qu’infâme belle-soeur, savannah. elle et ses sourires sadiques, ses phrases mordantes et ses prunelles sombres contrastants avec l'iris clair qu'elle partage avec son aînée. ce comportement enfantin qui amuse l'homme amoureux qu'il est. bens, jamais incommodé par cette rage jalouse qu'elle semble nourrir à son égard. bens, toujours patient et plein d'espoir qu'elle accepte de prendre la main qu'il ne cesse de lui tendre.

nice, jul. 2016. les cris succèdent aux rires, la peur s'incruste sur les visages là où seule la joie semblait avoir sa place. leurs jambes se bousculent dans cette cavale contre la mort, alors que seules leurs phalanges les relient encore au milieu de la foule apeurée. bens lui envoie ce regard qui se veut rassurant, celui qui aimerait lui dire que tout va bien se passer alors que daisy l'implore de ses prunelles de ne pas le lâcher. et c'est cette scène qui tournera en boucle comme un disque rayé, sadique. celle de ses doigts qui s'échappent des siens, de son regard désespéré, effrayé et de son prénoms qu'elle a supplié. bens. le son de sa voix qui s'évapore dans la foule alors que son attention est porté sur cet enfant en larme, cette petite fille qu'il attrape dans ses bras. bens, qui a détourné le regard l'espace de quelques secondes, instants qui ont suffit à la faire disparaître de son champs de vision. daisy n'est plus auprès de lui, emportée au large. elle ne sera pas non plus dans cet hôtel où ils auront trouvé refuge lui et la gamine. pas non plus au bout de sa ligne téléphonique, ni même dans leur chambre. daisy, elle sera étendue à terre, coquille vide de son âme. daisy, elle aura été emporté par la mort.

portland, nov. 2016. il pleut sur la ville comme dans son coeur. il pleut sur les cheveux de cette gamine qu'il entrevoit alors que ses chaussures glissent sur l'asphalte détrempé. de grands yeux, une crinière aussi dorée que la sienne, à elle. un instant, bens se sent loucher, voir trébucher. t'as pas froid ? qu'il lui demande sans trop attendre de réponse. mais elle cause la gosse. elle vomi presque un flot de paroles qui lui donne mal à la tête. et il comprend pas tout, bens, juste assez pour se dire qu'elle a besoin d'un coup de pouce - et que lui aussi. viens. c'est presque froid comme invitation. je vais pas te bouffer, juste te prêter mon canapé pour la nuit. et il aurait du se dire qu'elle était un peu folle pour accepter de suivre un inconnu dans la rue, qu'elle était plus téméraire que lui, qu'elle était son complet contraire. bens, il ne le savait pas sur le moment, mais c'est de ça dont il avait besoin, d'elle, de margo. margo la solaire. elle et ses peurs qui auraient rassuré le rubens gamins, ses envies qui l'auraient effrayé. margo, qui est restée. margo, à qui il s'est attaché.

(prénom/pseudo) untamed swallow, cynthia. (pays) france. (ton avis sur le forum) trop doux, un petit bijou. (tu nous a trouvé où?) dans les projets bazzart, je faisais partie des prévenus (type de personnage) inventé.
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