mareck cobburns
15.07.15 2:06
stars can't shine without darkness.
Cette partie est obligatoire et ne peut donc être retirée. Il vous est demandé d'écrire un minimum de dix informations sur votre personnage - de quelque nature qu'elles soient. Tâchez cependant de vous montrer exhaustifs, de brosser un complet portrait du personnage. Je vous recommande fortement d'expliciter son histoire, ses relations familiales, son caractère (au détriment de manies plus superficielles). Mais, il ne s'agit que d'un conseil: vous avez sinon carte blanche.
- two worlds collide:
♢♢ was given a role, never knew just when to play. pseudo wounded wings. mais je préfère qu'on m'appelle par mon prénom soit cynthia.âge et pays vingt-et-un ans, bientôt une année de passée encore. :faints: france.commentaires vous avez fait une pure merveille :waltz:
Re: mareck cobburns
15.07.15 2:06
stars can't shine without darkness.
Ses pieds frottent le bitume, à chacun de ses pas l'usures de ses chaussures s'intensifie. A bout de souffle, Marek continue sa course poursuite à travers rues et ruelles. Dans ses mains se trouve un gadget sûrement sans grande valeur, il ne sait pas bien. En réalité c'est tout ce qu'il a eut le temps de prendre avant que le vieux commerçant ne remarque leur supercherie. Alors il s'est évaporer, aussi vite que possible, fuyant ces ennuis qui ne cessent de se multiplier. Ses jambes frêles le portent à peine et sa cadence rapide lui donne la sensation de voler. Hilare, il partage son rire enfantin avec son compagnon de galère. Houmi qu'il prêtant s'appeler, mais tout le monde sait que ce n'est pas un vrai prénom. Marek il s'en contre fiche, tout ce qu'il cherche c'est de la compagnie, c'est un garçon paumé comme lui, un camarade, son similaire. Houmi, il a pas de famille. Il vit de et dans la rue. Et Marek il l'a suivit. Parce qu'il ne voulait plus vivre dans sa maison, il ne le pouvait plus. Marek il a perdu son insouciance trop tôt. Elle s'est envolée, évaporée lorsque son paternel a été porté disparu en mer. Un matin il est parti, il pensait revenir, comme chaque jour avec sa récolte quotidienne, mais ce ne fut pas le cas. Ils l'ont attendu, plusieurs jours, plusieurs semaines jusqu'à ce que l'espoir disparaisse à son tour. L'espoir et l'intégrité de la famille, disparus. Il a vu frères et soeurs, aînés, s'en aller sans aucune raison valable à ses yeux. Marek, il n'avait que quatre ans quand tout sa vie s'est vue transformée, basculée, tourmentée. En fermant les yeux, la nuit, il se souvient des cris de sa mère, des mains de ses hommes sur sa peau, sur son intimité. Caché dans un coin sombre de la maison, les mains sur les oreilles, les yeux clos, il tentait inlassablement de faire taire ses bruits d'horreurs, cette vision de sa mère se faisant battre puis baiser violemment. Ces hommes, ces monstres, autrefois amis, voisins. Puis il a vomit, comme pour se purger et s'en est aller, à son tour. Marek il n'est plus très souvent retourner à la maison, voir même plus jamais. Ce n'était qu'un gamin perdu, à la dérive. Et, même s'il lui arrivait de ne pas manger à sa faim, il préférait de loin cette vie de sans abris, au cauchemar vivant que lui avait fait subir sa génitrice. Avec Houmi, Marek s'était trouvé un autre foyer, une autre famille. Ils avaient l'air de rien ensemble, mais ils formaient un tout. Bravant les rues de Mahanoro, volant aux petits commerces de quoi passer quelques jours sereinement. Ils prenaient la vie comme elle venait et dans un sens ça lui plaisait bien à Marek, c'était simple. Puis un jour tout s'arrêta. Un jour un policier le pris la main dans le sac. Puis, sans savoir comment, il s'était retrouvé dans un avion pour construire une nouvelle vie. Une nouvelle vie, loin d'ici...
stars can't shine without darkness.
Assis en tailleur sur le paquet de ce qu'ils ont appelé sa chambre, Marek toise le blanc des murs sans grande émotion. Quinze août mille neuf cent quatre-vingt-quatorze. Jour où ses pieds passèrent pour la première fois le pas de la porte de cette gigantesque maison. Les yeux brillants, la bouche béante. Déstabilisé par tant de sourires et d'attention, Marek s'était camouflé derrière un mutisme oppressant. Deux semaines. Quinze jours s'étaient écoulés depuis son arrivée. Plus réceptif et ouvert, il restait cependant toujours caché derrière son manque de communication. La langue ne faisant pourtant pas barrière, Marek se retrouvait simplement déboussolé par cette seconde chance qu'il lui avait été offerte. Ne comprenant pas très bien ni comment, ni pourquoi, il en venait parfois même se demander ce qui l'avait amené, lui ce pauvre gamin sans avenir, à se retrouver dans cette chambre dix fois trop grande pour lui. Un bruit résonne dans la pièce, celui d'une main venant s'écraser contre le bois de la porte. Marek est aussitôt tiré de sa rêverie, le regard fixé sur l'entrée de sa chambre il observe cette petite tête blonde s'approcher de lui s'en qu'il n'ait pris la peine de l'y inviter. Automatiquement un sourire se dessine sur son visage, sourire qu'elle lui rend gaiement. Dans sa main se trouve quelque chose, un gâteau il lui semble, Marek ne sait pas trop. Tiens, maman en a fait tout un tas. Ils sont super bons tu devrais les goûter. Marek plisse les yeux tout en observant ce qui lui semble avoir une saveur de chocolat. Un cupcake qu'ils appellent ça ici. Maman.. ce terme si familier et pourtant oublier. Cette femme, belle et élégante, douce et bienveillante. Sa maman ? Sans trop y réfléchir plus longtemps, Marek gobe la pâtisserie apportée par sa désormais jeune soeur, Jack. Des miettes sur le contour de la bouche, il mâche avec énergie, se délectant de cette saveur sucrée, émettant quelques gémissements de plaisir gourmet. Merci Jack, qu'il dit la bouche encore à moitié pleine. Premiers mots, premières syllabes prononcées depuis plusieurs semaines. Il n'en prononcera pourtant pas plus de la journée, se livrant cependant chaque jour un peu mieux à cette petite frimousse blonde. Jack, elle fut la seule personne à qui il adressa la parole pendant plus d'une semaine avant de s'ouvrir au reste de la famille. Depuis ce jour où elle est entrée furtivement dans sa chambre, un lien spécial été né. Marek, il ne jurait que par Jack et son visage angélique. Elle était devenue bien plus qu'une soeur, mais il ne savait à cette époque pas qu'elle deviendrait un jour la femme de ses rêves.
stars can't shine without darkness.
Ne t'avise pas de tout foirer et de rentrer ici. Les yeux clos, Marek se remémore ces paroles qu'il avait dites. Ces mots qu'il avait prononcé en sachant que c'était la seule chose qu'elle devait entendre. Allongé dans son lit, il se retourne pour faire face à cette femme. Max, elle est belle, brillante, adorable. Il l'aime, enfin il le pense. Avec elle tout est simple et pourtant compliqué à la fois. Ils sont similaires et ils le savent. Cherchant tout deux chez l'autre un échappatoire, une façon d'oublier l'être sincèrement aimé. Mais est-ce une raison valable pour s'enfermer dans cette vie de couple que tout deux ne désirent pas réellement..? Oui, non. Il ne sait pas, en fait il ne sait plus. Passant sa main dans les cheveux, Marek soupire profondément. Paisiblement endormie, Max était la seule femme qu'il s'était autorisé à toucher et à aimer depuis qu'elle était partie. Elle. Mon dieu ce qu'elle pouvait lui manquer. Jack, sa Jack. Partie loin d'ici, ailleurs, à Boston. Lorsqu'elle se réveille enfin, les yeux à demi clos, son doux visage encore endormi, ce sourire radieux sur le visage, Marek ne peut que déposer un baiser sur ses lèvres pulpeuses. Pourtant, dans ce geste d'affection tout deux savent que quelque chose sonne faux. Amour, amitié, une seule chose était certaine, il existait une affection sincère entre eux. Il ne leur suffisait qu'à la définir. Amant d'un jour, ils finirent par devenir amis de toujours. Puis, pendant ces longues années d'absence, celle où il se trouvait loin d'elle, Marek enchaîna les tentatives. Il chercha en vint de supprimer de sa mémoire l'image de Jack, d'effacer de son coeur ces sentiments démoniaques. Oui, c'était le mot, démoniaques. Marek il se sentait pêcheur à chaque fois qu'il se remémorait sa peau nue contre la sienne. Il sentait les abîmes des enfers l'attirer chaque fois un peu plus lorsqu'il songeait à ce qu'il aimerait qu'elle devienne, sienne. Inceste. Il ne pouvait pas s'adonner à ce danger. Les liens de la famille pourtant loin d'être liens du sang étaient devenus bien plus que sacrés à ses yeux et au nom de la loi rien n'était un jour possible ni même envisageable. Rien. Rien. Pourtant, il n'y parvenait pas, jamais. Aucune femme n'avait jusqu'alors réussi à la sortir de sa tête, à la remplacer dans son coeur, à le faire passer à autre chose. Puis elle est revenue, pétillante comme dans son souvenir. Elle est revenue au bras d'un homme et il a su que, malgré cette ambiguïté persistante, jamais ils ne pourraient faire leur vie ensemble.
stars can't shine without darkness.
Vous devriez trouver un moyen de vous libérer monsieur Cobburns. L'écriture par exemple. Vous travaillez bien dans le domaine de la littérature n'est-ce pas ? Doucement il acquiesce d'un signe de la tête, l'amenant à continuer dans sa pensée. Je ne sais pas bien ce que cela pourrait donner, un projet comme celui-ci a des effets assez fluctuants en fonction des.. personnes. Voyez-vous l'écriture est un moyen d'expression fort puisqu'il est permanent. Contrairement aux paroles, aux discussions, un texte peut-être corrigé, modifié et ne disparaîtra pas dans la volée. Ce que je vous propose, monsieur Cobburns, c'est de poser par écrit toutes vos pensées, toutes ces choses qui vous torturent l'esprit, qui vous empêchent d'avancer. J'aimerais, si vous le voulez bien, qu'on se lance dans l'écriture d'une sorte de mémoire. Un mémoire où vous noterez chacun des souvenirs que vous souhaiterez et ce sous la forme que vous désirez. (...)
Elle se trouvait là, face à moi, son magnifique poil d'été se reflétant dans la clarté du soleil. La biche. Il me suffisait de tendre la main pour l'atteindre, la toucher enfin. Le brillant de ses yeux fixant la pureté des miens, je savais qu'elle ressentait ce besoin incontrôlable de s'approcher un peu plus, de laisser s'embraser le feu du danger. Elle était si proche qu'il m'était devenu presque insupportable de ne pas pouvoir poser mes lèvres sur sa douce robe blanche roussâtre, de quitter son regard pétillant. C'est elle qui nous a infligé le contact, elle qui a franchi cette limite que nous ne pensions jamais dépasser. Ma biche. Elle était si proche et si loin à la fois. En cet instant et alors que l'interdit et la peur se mélangeaient au plaisir de l'instant, je savais que c'était la première et la dernière. Je la touchais avec toute la passion dont je pouvais faire preuve, mais je savais. Elle pouvait partir d'un moment à un autre, s'envoler et disparaître. Et c'est ce qu'elle a fait, ma biche. Elle est repartie dans cette forêt où je l'ai trouvé, seule, perdue et où nous nous sommes réconfortés, ensemble. - Marek Cobburns.
Vous avez un appel de Merri sur la ligne trois. - Merci Camille, je vais le prendre depuis mon bureau. A peine assis, Marek décroche le combiné du téléphone. Oui mon coeur ? De l'autre côté de la ligne, il l'entend discuter vivement avec quelqu'un avant de se rendre compte que son appel venait d'être pris. Oh mon amour désolée, une seconde.. Oui bah prend les noires si tu les préfères. Quoi ? Je sais pas moi les marrons sont très bien aussi. Je suis au téléphone là maman, je peux pas faire dix milles choses à la fois tu sais.. Désolée, tu disais ? Un sourire amusé s'est creusé sur ses lèvres alors qu'il l'imagine dans sa mignonne querelle familiale. Rien justement, tout va bien ? - Oui c'est juste que tu sais, tu la connais, toujours à pinailler pour un rien. Son rire cristallin résonne dans le téléphone et par la mène occasion lui réchauffe le coeur. Je t'appelais pour savoir si c'était toujours bon pour ce soir ? Tu sais le restaurant avec les parents tout ça.. Marek s'enfonce un peu plus dans son fauteuil le faisant par la même occasion légèrement tourner sur lui-même. Rencontrer les parents d'une de ses copines n'était pas un chose habituel pour lui qui n'avait jamais dépassé le stade de relation stable et durable. Pourtant, il se sentait à l'aise avec cette idée. Merri, elle avait changé la donne. Oui, oui. Bien évidemment. La réservation est à quelle heure déjà ? - Super, tu peux pas savoir à quel point je suis contente ! Vingt heure, il me semble. - Je vous rejoins directement là-bas, j'ai encore quelque trucs à régler au bureau. Faiblement, il lui semble entendre sa mère au loin demander ce qu'il a répondu et Merri doucement s'agacer de son impatiente. Étonnement cette situation le fait sourire, d'un sourire béat qu'il ne contrôle pas. A tout à l'aise dans ce cas, bisous mon amour. - Bisous, oh et je t'aime. De loin il sent son sourire se dessiner alors qu'elle lui répond en partageant à son tour son amour. Avec Merri il se sent bien, agréablement bien. C'est étonnant, frustrant et déboussolant. Marek il n'arrive pas à l'oublier et pourtant dans un certain sens il se sent désormais capable de tourner cette page à peine commencée. Cette page qu'il n'a jamais voulu déchirer.
Elle se trouvait là, face à moi, son magnifique poil d'été se reflétant dans la clarté du soleil. La biche. Il me suffisait de tendre la main pour l'atteindre, la toucher enfin. Le brillant de ses yeux fixant la pureté des miens, je savais qu'elle ressentait ce besoin incontrôlable de s'approcher un peu plus, de laisser s'embraser le feu du danger. Elle était si proche qu'il m'était devenu presque insupportable de ne pas pouvoir poser mes lèvres sur sa douce robe blanche roussâtre, de quitter son regard pétillant. C'est elle qui nous a infligé le contact, elle qui a franchi cette limite que nous ne pensions jamais dépasser. Ma biche. Elle était si proche et si loin à la fois. En cet instant et alors que l'interdit et la peur se mélangeaient au plaisir de l'instant, je savais que c'était la première et la dernière. Je la touchais avec toute la passion dont je pouvais faire preuve, mais je savais. Elle pouvait partir d'un moment à un autre, s'envoler et disparaître. Et c'est ce qu'elle a fait, ma biche. Elle est repartie dans cette forêt où je l'ai trouvé, seule, perdue et où nous nous sommes réconfortés, ensemble. - Marek Cobburns.
Vous avez un appel de Merri sur la ligne trois. - Merci Camille, je vais le prendre depuis mon bureau. A peine assis, Marek décroche le combiné du téléphone. Oui mon coeur ? De l'autre côté de la ligne, il l'entend discuter vivement avec quelqu'un avant de se rendre compte que son appel venait d'être pris. Oh mon amour désolée, une seconde.. Oui bah prend les noires si tu les préfères. Quoi ? Je sais pas moi les marrons sont très bien aussi. Je suis au téléphone là maman, je peux pas faire dix milles choses à la fois tu sais.. Désolée, tu disais ? Un sourire amusé s'est creusé sur ses lèvres alors qu'il l'imagine dans sa mignonne querelle familiale. Rien justement, tout va bien ? - Oui c'est juste que tu sais, tu la connais, toujours à pinailler pour un rien. Son rire cristallin résonne dans le téléphone et par la mène occasion lui réchauffe le coeur. Je t'appelais pour savoir si c'était toujours bon pour ce soir ? Tu sais le restaurant avec les parents tout ça.. Marek s'enfonce un peu plus dans son fauteuil le faisant par la même occasion légèrement tourner sur lui-même. Rencontrer les parents d'une de ses copines n'était pas un chose habituel pour lui qui n'avait jamais dépassé le stade de relation stable et durable. Pourtant, il se sentait à l'aise avec cette idée. Merri, elle avait changé la donne. Oui, oui. Bien évidemment. La réservation est à quelle heure déjà ? - Super, tu peux pas savoir à quel point je suis contente ! Vingt heure, il me semble. - Je vous rejoins directement là-bas, j'ai encore quelque trucs à régler au bureau. Faiblement, il lui semble entendre sa mère au loin demander ce qu'il a répondu et Merri doucement s'agacer de son impatiente. Étonnement cette situation le fait sourire, d'un sourire béat qu'il ne contrôle pas. A tout à l'aise dans ce cas, bisous mon amour. - Bisous, oh et je t'aime. De loin il sent son sourire se dessiner alors qu'elle lui répond en partageant à son tour son amour. Avec Merri il se sent bien, agréablement bien. C'est étonnant, frustrant et déboussolant. Marek il n'arrive pas à l'oublier et pourtant dans un certain sens il se sent désormais capable de tourner cette page à peine commencée. Cette page qu'il n'a jamais voulu déchirer.
- Spoiler:
Marek est né à Mahanoro, ville rurale de Madagascar. Fils cadet d'un homme pêcheur et d'une femme au foyer - qui s'occupait principalement de ses enfants et des cultures jardinières - il a grandi dans l'insouciance jusqu'à l'âge de ses quatre ans où son père disparu en mer. Sa mère, désormais veuve et sans moyen de parvenir à leur besoin, fut contrainte d'abandonner certains de ses enfants. Devenue la risée du village, elle subit coups, viols et vols de la part de ceux qui se prétendaient autrefois amis. Marek a vu sa mère se faire toucher et battre à plusieurs reprises. De moins en moins présent chez lui, il a apprit à vivre seul avec d'autres gosses jusqu'au jour où un policier le pris la main dans le sac. Considéré sans parents, il fut placer dans un centre avant son adoption, à huit ans par le couple Cobburns. - famille consitutée d'un père ariste et d'une mère anciennement pianiste ayant perdu sa faculté à jouer suite à un accident et qui se serait pris d'affection pour ses enfants tous adoptés - Pourtant calme et gentil, il se terre dans un mutisme pendant près d'un mois après son arrivée. Très proche de sa famille, il remercie aujourd'hui encore le ciel de les avoir mis sur sa route et, bien que son passé soit encore ancré en sa mémoire, il n'y changerait si ce n'est la souffrance de sa pauvre mère. Aujourd'hui traducteur, il se plait dans sa vie plutôt banale. Suivi par une psychologue, il vient de terminé la rédaction d'un livre narrant ses aventures de gosses, ses cauchemars et ses souvenirs. Il ne compte pas le mettre en vente, jugeant qu'il ne s'agit que d'un simple projet thérapeutique visant à adoucir ses nuits. en cours.
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